C'est
le tarif Nadal. Malgré une belle résistance, Eduardo Schwank n'a pu que
constater l'évidence : il n'y avait rien à faire samedi face à
l'Espagnol. Ce dernier s'est imposé à sa main en trois sets (6-1, 6-3,
6-4) au terme d'un duel plaisant sur le Chatrier où les échanges au
couteau ont été nombreux, tout comme les jeux du chat et de la souris.
Schwank a tout tenté, même de faire jouer au filet ses qualités de
joueur de double, mais la muraille Nadal ne s'est pas fissurée.
Coups de fusil en coup droit le long de la ligne, jeu de jambes de parade : le tenant du titre a sans doute livré son meilleur match depuis le début du tournoi. Il a eu réponse à tout, avec un calme à glacer le sang de la concurrence. «Je ne sais pas si c'était mon meilleur match de la semaine. Je pense que je jouais déjà très bien contre Istomin. Aujourd'hui c'est vrai que les sensations étaient très bonnes face à un adversaire dangereux. C'est une victoire en trois sets importante pour moi», a ainsi confié l'homme de Manacor.
Coups de fusil en coup droit le long de la ligne, jeu de jambes de parade : le tenant du titre a sans doute livré son meilleur match depuis le début du tournoi. Il a eu réponse à tout, avec un calme à glacer le sang de la concurrence. «Je ne sais pas si c'était mon meilleur match de la semaine. Je pense que je jouais déjà très bien contre Istomin. Aujourd'hui c'est vrai que les sensations étaient très bonnes face à un adversaire dangereux. C'est une victoire en trois sets importante pour moi», a ainsi confié l'homme de Manacor.
«Tout va bien pour moi pour le moment. Le plus dur reste à venir»Le
voilà donc en huitièmes de finale dans les meilleures dispositions
possibles. Il sera opposé à un de ses meilleurs amis, l'Argentin Juan
Monaco qu'il a dominé 3 fois sur 3 sur l'ocre. «C'est
un des joueurs que j'apprécie le plus, on se connaît très bien et on
passe énormément d'heures ensemble. Il joue très bien en ce moment et a
une saison fantastique. Ce sera sans doute un match très difficile même
si tout va bien pour moi pour le moment. Le plus dur reste à venir.»
En le voyant si joyeux à la fin de la rencontre, on se dit que les doutes de 2011 ont bien été effacés pour celui qui est devenu en début de tournoi le plus jeune joueur de l'histoire à remporter 150 matches en Grand Chelem. Dimanche, il fêtera son 26e anniversaire en toute simplicité. «Je n'ai rien prévu de spécial. Peut-être que le tournoi organisera encore quelque chose pour moi et ça me fera évidemment plaisir. Mais je n'irai pas faire la fête, ce n'est pas le moment.» Les yeux rivés vers son but - ce septième titre à Paris - Nadal refuse de baisser sa garde.
En le voyant si joyeux à la fin de la rencontre, on se dit que les doutes de 2011 ont bien été effacés pour celui qui est devenu en début de tournoi le plus jeune joueur de l'histoire à remporter 150 matches en Grand Chelem. Dimanche, il fêtera son 26e anniversaire en toute simplicité. «Je n'ai rien prévu de spécial. Peut-être que le tournoi organisera encore quelque chose pour moi et ça me fera évidemment plaisir. Mais je n'irai pas faire la fête, ce n'est pas le moment.» Les yeux rivés vers son but - ce septième titre à Paris - Nadal refuse de baisser sa garde.
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