Le tennisman espagnol Rafael Nadal, lors de sa victoire face à Feliciano Lopez, en demi-finale du tournoi de Shanghai, le 16 octobre 2009/A.Song/REUTERS
TENNIS - L'Espagnol débute son tournoi mardi contre son compatriote Nicolas Almagro...
De notre envoyé spécial à Bercy
Cinq mois après son élimination précoce à Roland-Garros, le Majorquin retrouve Paris et le Masters de Bercy. Un tournoi qui ne lui a jamais réussi. Au passage, le numéro deux mondial y va aussi de son petit commentaire concernant la localisation des joueurs dans le cadre de la lutte antidopage.
Pour un joueur comme vous, ça doit être frustrant de ne pas avoir gagné un tournoi lors ces six derniers mois?
Je ne pense pas à ça. En six mois, j’ai participé à seulement deux tournois en bonne condition physique. J’arrive en demi-finale à l’US Open, en finale à Shanghai et même quand je ne suis pas en forme je ne perds pas avant les quarts. D’accord, il n’y a pas de titre au bout, mais ce n’est pas si mauvais et il faut voir que je n’ai participé qu’à des gros tournois. Je sais qu’à Bercy ça va être très compliqué d’aller au bout, mais je vais mettre toutes les chances de mon côté.
Comment vous sentez-vous à la veille de débuter votre tournoi?
Je ne me sens pas mal. J’ai toujours de bonnes sensations quand j’arrive à Paris. Ce n’est pas le tournoi le plus facile pour moi, mais je vais faire de mon mieux. J’ai connu une seconde partie de saison compliquée avec pas mal de blessures. C’est assez dur à vivre, mais maintenant je me sens en forme et prêt à finir cette année aussi bien que possible.
Pour la première fois depuis cinq ans, vous revenez à Paris sans être dans la peau du vainqueur de Roland-Garros? Est-ce que cela change votre approche du tournoi?
Non, pas du tout. Je reste le même joueur.
Votre motivation est-t-elle différente entre Roland-Garros et Bercy?
Je suis motivé par tous les tournois. Après c’est délicat de faire une comparaison avec Roland-Garros. Mes chances de gagner ici ne sont pas les mêmes.
Que vous inspirent les suspensions de Xavier Malisse et Yanina Wickmayer pour non-respect des procédures de localisation dans le cadre de la politique antidopage? Vous êtes assez critique sur ces contrôles.
Je suis le premier à vouloir un sport propre. Plus que n’importe qui, croyez-moi. Mais les contrôles actuels ne conviennent pas. Je pense que c’est trop contraignant d’avoir à indiquer où vous vous trouvez chaque jour de votre vie.
Cinq mois après son élimination précoce à Roland-Garros, le Majorquin retrouve Paris et le Masters de Bercy. Un tournoi qui ne lui a jamais réussi. Au passage, le numéro deux mondial y va aussi de son petit commentaire concernant la localisation des joueurs dans le cadre de la lutte antidopage.
Pour un joueur comme vous, ça doit être frustrant de ne pas avoir gagné un tournoi lors ces six derniers mois?
Je ne pense pas à ça. En six mois, j’ai participé à seulement deux tournois en bonne condition physique. J’arrive en demi-finale à l’US Open, en finale à Shanghai et même quand je ne suis pas en forme je ne perds pas avant les quarts. D’accord, il n’y a pas de titre au bout, mais ce n’est pas si mauvais et il faut voir que je n’ai participé qu’à des gros tournois. Je sais qu’à Bercy ça va être très compliqué d’aller au bout, mais je vais mettre toutes les chances de mon côté.
Comment vous sentez-vous à la veille de débuter votre tournoi?
Je ne me sens pas mal. J’ai toujours de bonnes sensations quand j’arrive à Paris. Ce n’est pas le tournoi le plus facile pour moi, mais je vais faire de mon mieux. J’ai connu une seconde partie de saison compliquée avec pas mal de blessures. C’est assez dur à vivre, mais maintenant je me sens en forme et prêt à finir cette année aussi bien que possible.
Pour la première fois depuis cinq ans, vous revenez à Paris sans être dans la peau du vainqueur de Roland-Garros? Est-ce que cela change votre approche du tournoi?
Non, pas du tout. Je reste le même joueur.
Votre motivation est-t-elle différente entre Roland-Garros et Bercy?
Je suis motivé par tous les tournois. Après c’est délicat de faire une comparaison avec Roland-Garros. Mes chances de gagner ici ne sont pas les mêmes.
Que vous inspirent les suspensions de Xavier Malisse et Yanina Wickmayer pour non-respect des procédures de localisation dans le cadre de la politique antidopage? Vous êtes assez critique sur ces contrôles.
Je suis le premier à vouloir un sport propre. Plus que n’importe qui, croyez-moi. Mais les contrôles actuels ne conviennent pas. Je pense que c’est trop contraignant d’avoir à indiquer où vous vous trouvez chaque jour de votre vie.
Propos recueillis par A.P.
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