David Ferrer a sorti Rafael Nadal (6-3, 7-5) samedi en demi-finales du BNPPM. Il tentera de remporter le tournoi pour la deuxième fois de suite face à Novak Djokovic.
D'un côté, un exploit. De l'autre,
un carnage. David Ferrer, tenant du titre en difficulté depuis l'été, a
réalisé la sensation des demi-finales et a éliminé son compatriote Rafael Nadal (6-3, 7-5), n°1 mondial. Il ne l'avait plus battu depuis l'Open d'Australie 2011 en quarts. Il tentera désormais le doublé face à Novak Djokovic, le dauphin, qui a dominé Roger Federer.
Mais ce match de Nadal pose beaucoup de questions : 25 fautes directes,
1 sur 7 en balles de break, un coup droit totalement grippé et une
avalanche de mauvais choix face à un joueur qu'il avait dominé 20 fois
en 24 duels dont 9 succès de suite. Pour leurs retrouvailles sur surface
rapide, ''Rafa'' est totalement passé au travers face au mur Ferrer.
Que dire du fighing spirit de David Ferrer ? Battu au 2e tour à Kuala Lumpur par Joao Sousa, battu par Florian Mayer à Shanghai : il semblait être entré dans la zone rouge. Et puis il y a eu ces finales à Stockholm et Valence où son coup droit a retrouvé de la vigueur et où son jeu de jambes est un peu revenu à la vie. A Bercy, avec les 1000 points de son titre à défendre, celui qui chasse la place de n°3 mondial en fin de saison a fait preuve d'une détermination admirable cette semaine. Et sa volonté a payé au moment où personne n'y croyait vraiement : face à l'ogre de 2013. Très incisif en coup droit, refusant de subir, l'Espagnol a totalement dicté la cadence. Le plus surprenant a sans doute été de le voir si relâché alors qu'on sait combien ses nerfs lui ont souvent joué des tours face à son illustre compatriote.
Que dire du fighing spirit de David Ferrer ? Battu au 2e tour à Kuala Lumpur par Joao Sousa, battu par Florian Mayer à Shanghai : il semblait être entré dans la zone rouge. Et puis il y a eu ces finales à Stockholm et Valence où son coup droit a retrouvé de la vigueur et où son jeu de jambes est un peu revenu à la vie. A Bercy, avec les 1000 points de son titre à défendre, celui qui chasse la place de n°3 mondial en fin de saison a fait preuve d'une détermination admirable cette semaine. Et sa volonté a payé au moment où personne n'y croyait vraiement : face à l'ogre de 2013. Très incisif en coup droit, refusant de subir, l'Espagnol a totalement dicté la cadence. Le plus surprenant a sans doute été de le voir si relâché alors qu'on sait combien ses nerfs lui ont souvent joué des tours face à son illustre compatriote.
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